Pendant l\’année 2015, la chance a souri aux nouveaux acheteurs d\’immobilier dans la plupart des grandes villes françaises à l\’exclusion de Strasbourg. Un investissement identique à celui des autres villes accorde aux habitants des villes concernées un surplus de mètres carrés.
Une hausse de pouvoir d\’achat immobilier en une seule année
En 2015, on a pu constater la stabilité des prix et la réduction des taux de crédit dans le secteur immobilier en France. Cette situation a été surtout favorable pour les nouveaux acquéreurs de biens immobiliers dans les grandes villes de France. Grâce à ces nouvelles opportunités, les acheteurs ont pu s\’offrir des mètres carrés supplémentaires avec un prix relativement bas comparé à celui des autres villes et en 2014. Ainsi, le nombre de mètres carrés acheté dans les zones concernées est ainsi largement supérieur à celui qui pourrait être acquis dans les petites villes, toujours pour un prix similaire.
Cette nouvelle s\’annonce plutôt mal pour les acquéreurs de Strasbourg. En effet, dans cette ville, les prix d\’immobilier restent élevés. Par conséquent, le pouvoir d\’achat des nouveaux entrants tend à baisser. Toutefois, l\’estimation de la baisse de l\’inflation et des taux bancaires dans toute la France laisse entrevoir aux acheteurs une plus grande opportunité encore pour l\’année 2016.
Progression arbitraire des pouvoirs d\’achat
À cause de l\’inégalité des situations observées dans les grandes villes françaises, l\’évolution des pouvoirs d\’achat immobiliers des nouveaux acheteurs n\’est pas équitable au niveau national. À titre d\’illustration, on peut faire la comparaison des gains des acquéreurs dans les deux villes qui se trouvent à la tête et à la dernière place de la liste du classement : Marseille et Paris. En effet, dans la ville marseillaise, une mensualité de 1000 € sur 20 ans est équivalente de 94 mètres carrés. Cependant, à Paris, la même mensualité est seulement équivalente à 23 mètres carrés. Ainsi, il y a une différence de 70 mètres carrés sur le nombre de mètres carrés acheté avec prix égal. Cette situation s\’explique par la particularité des opportunités qui s\’offrent dans chaque ville. Effectivement, à Marseille, le prix d\’immobilier est stable et les taux de crédit sont relativement bas. Parallèlement, à la même année, on observe une légère hausse de prix à Paris avec un taux plus ou moins faible.
À Toulouse, la ville située à la 6ème place du classement, une mensualité de 1000 € sur 20 ans permet d\’acheter 80 mètres carrés. Quant au gain des habitants de la ville 7e du classement, il est plutôt faible comparé à celui des Toulousains puisqu\’avec le même prix, on ne peut acquérir que 64 mètres carrés à Bordeaux. On peut ainsi confirmer qu’une inégalité se creuse entre les grandes villes françaises. Les autres villes soulèvent un infime espoir que l\’année 2016 sera prometteuse pour toutes les villes de France.